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Accusations d'ingérence étrangère en France : visé par une enquête, le réseau X dénonce un « agenda politique »
Accusations d'ingérence étrangère en France : visé par une enquête, le réseau X dénonce un « agenda politique »

Le Parisien

time2 days ago

  • Le Parisien

Accusations d'ingérence étrangère en France : visé par une enquête, le réseau X dénonce un « agenda politique »

X dénonce un « agenda politique ». Le réseau social réagit ce lundi à l'ouverture par la section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris le 9 juillet d'une enquête le visant, lui, et ses dirigeants. Ils sont suspectés par la justice française d'avoir biaisé l'algorithme de la plate-forme à des fins d' ingérence étrangère . Après deux signalements reçus en janvier, qui « faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère », une enquête a été confiée à la gendarmerie nationale contre le réseau X, en tant que personne morale, et contre les « personnes physiques » qui la dirigent, indique Laure Beccuau dans un communiqué, sans citer le nom de son patron, Elon Musk . Cela intervient après deux signalements reçus le 12 janvier, qui « faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère », détaille le ministère public. >> Plus d'informations à venir

«X résiste à la censure politique» : la plateforme d'Elon Musk nie avoir manipulé les données de ses utilisateurs
«X résiste à la censure politique» : la plateforme d'Elon Musk nie avoir manipulé les données de ses utilisateurs

Le Figaro

time3 days ago

  • Le Figaro

«X résiste à la censure politique» : la plateforme d'Elon Musk nie avoir manipulé les données de ses utilisateurs

Le réseau social se défend, après l'ouverture en France d'une enquête à la suite de signalements faisant état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère. Alors que la section cybercriminalité du parquet de Paris vient d'ouvrir une enquête pénale visant la plateforme X (ex-Twitter), propriété d'Elon Musk, après des accusations d'ingérence étrangère, cette dernière s'est défendue ce lundi d'avoir commis le moindre crime. Le réseau social a-t-il volontairement biaisé son algorithme, au point d'altérer le débat démocratique en France ? «Les autorités françaises ont ouvert une enquête pénale, motivée par des considérations politiques, concernant la prétendue manipulation de l'algorithme de X et une prétendue extraction frauduleuse de données. X nie catégoriquement ces allégations», a fait savoir le département des affaires internationales de la plateforme. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech L'ouverture de cette enquête intervient après deux signalements reçus le 12 janvier, qui «faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère», détaille le ministère public. Le premier provenait du député macroniste des Côtes-d'Armor spécialiste de ces questions, Éric Bothorel. Il alertait le parquet sur «les récents changements d'algorithme de X, ainsi que les ingérences apparentes dans sa gestion depuis son acquisition par Elon Musk» en 2022. Une enquête qui «porte gravement atteinte au droit fondamental de X d'avoir accès à une procédure équitable et menace le droit à la vie privée de nos utilisateurs tout comme leur liberté d'expression», peut-on lire encore dans cette déclaration sous forme de communiqué de presse. Publicité Par voie de conséquence, la plateforme X a annoncé qu'elle refusait d'accéder aux demandes formulées par la justice française d'avoir accès à un certain nombre de données internes au réseau social. Une décision qu'elle n'a «pas pris à la légère», assure-t-on encore chez X, «déterminé à défendre ses droits fondamentaux, à protéger les données de ses utilisateurs et à résister à la censure politique». X dénonce également l'intervention dans cette enquête d'experts français ouvertement opposés à Elon Musk. X regrette par exemple que David Chavalarias soit partie prenante dans ce dossier, alors même qu'«il a dirigé la campagne 'Escape X' - anciennement connue sous le nom de 'HelloQuitteX' - ayant pour but d'encourager les utilisateurs de X à quitter la plateforme». «L'implication de ces personnes soulève de sérieuses inquiétudes quant à l'impartialité, l'équité et les motivations politiques de cette enquête», écrit encore le département des affaires internationales de la plateforme, protestant qu'«une enquête dont le résultat est prédéterminé n'est pas équitable». Confiée à la Direction générale de la gendarmerie nationale, celle-ci porte «notamment» sur les infractions suivantes : altération du fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée, ainsi qu'extraction frauduleuse de données d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée. À ce stade, la qualification pénale évoquée dans le communiqué ne comporte pas la circonstance aggravante d'ingérence étrangère, pourtant prévue par une loi promulguée en juillet 2024, mais cela peut évoluer en cours d'enquête.

Le réseau social X d'Elon Musk visé par une enquête de la justice française
Le réseau social X d'Elon Musk visé par une enquête de la justice française

24 Heures

time12-07-2025

  • 24 Heures

Le réseau social X d'Elon Musk visé par une enquête de la justice française

Le parquet de Paris a ouvert une enquête pénale visant le réseau social d'Elon Musk. Des soupçons d'altération volontaire du débat démocratique et d'ingérence étrangère sont au cœur des investigations. Publié aujourd'hui à 11h05 Une enquête a été confiée mercredi à la gendarmerie concernant le réseau X, en tant que personne morale, et contre les «personnes physiques» qui le dirigent. EPA/FRANCIS CHUNG/POOL La plateforme X a-t-elle volontairement biaisé son algorithme, au point d'altérer le débat démocratique en France? La section cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert une enquête pénale, visant le réseau social, propriété d'Elon Musk , après des accusations d'ingérence étrangère. Une enquête a été confiée mercredi à la gendarmerie concernant le réseau X, en tant que personne morale, et contre les «personnes physiques» qui le dirigent, a indiqué vendredi la procureure de Paris Laure Beccuau dans un communiqué, sans citer le nom de son propriétaire multimilliardaire, également patron de Tesla. Cela intervient après deux signalements reçus le 12 janvier, qui «faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère», détaille le ministère public. Le premier provenait d'un député spécialiste de ces questions, Eric Bothorel, membre du parti du président Emmanuel Macron. Il alertait le parquet sur «les récents changements d'algorithme de X, ainsi que les ingérences apparentes dans sa gestion depuis son acquisition par Elon Musk» en 2022. Il soulignait une «réduction de la diversité des voix et des options», une plateforme qui s'éloigne d'un objectif de «garantir un environnement sûr et respectueux à tous», un «manque de clarté quant aux critères qui ont conduit aux changements d'algorithmes et aux décisions de modération», ainsi que des «interventions personnelles d'Elon Musk». Ingérence étrangère Dans un communiqué vendredi, M. Bothorel s'est dit «très heureux que la justice française se donne les moyens de lutter contre ces ingérences étrangères.» «La démocratie est un bien trop fragile pour laisser des apprentis sorciers, propriétaires de plateformes numériques, nous dire quoi penser, pour qui voter voire qui haïr», a-t-il ajouté. Selon les informations du journal satirique français Le Canard enchaîné en février, le second signalement provenait d'un directeur de cybersécurité dans la fonction publique, qui s'inquiétait d'«une modification majeure dans l'algorithme utilisé par la plateforme X qui propose aujourd'hui énormément de contenus politique haineux, racistes, anti-LGBT+, homophobes et qui visent donc à biaiser le débat démocratique en France». Le parquet, qui avait confirmé début février étudier ces signalements, a indiqué vendredi dans son communiqué avoir ouvert cette procédure «sur le fondement de vérifications, de contributions de chercheurs français et d'éléments apportés par différentes institutions publiques». Enquête pénale L'enquête a été confiée à la Direction générale de la gendarmerie nationale, et porte «notamment» sur les infractions suivantes: altération du fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée, ainsi qu'extraction frauduleuse de données d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée. À ce stade, la qualification pénale évoquée dans le communiqué ne comporte pas la circonstance aggravante d'ingérence étrangère, prévue par une loi promulguée en juillet 2024, mais cela peut évoluer en cours d'enquête. Le patron de X France, Laurent Buanec, avait assuré le 22 janvier sur son réseau social que «X a des règles strictes, claires et publiques visant à protéger la plateforme des discours de haine», «lutte contre la désinformation» et que son algorithme «est construit de manière à éviter de vous proposer des contenus de type haineux». À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Elon Musk s'exprime très régulièrement sur l'actualité domestique et internationale sur X, et a été ces derniers mois accusé de vouloir influencer le débat démocratique en Grande-Bretagne ou en Allemagne, où se sont tenues des élections législatives en février. Fin décembre, M. Musk avait ainsi estimé dans un message sur X que «seule l'AfD» , formation d'extrême droite allemande, «peut sauver l'Allemagne». Le commentaire avait suscité un vif émoi en Europe. L'ex-commissaire européen au Numérique Thierry Breton avait alors qualifié la remarque «d'ingérence étrangère». Possible amende pour Elon Musk Le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot avait exhorté Bruxelles début janvier à protéger les États membres de l'UE contre les ingérences dans le débat public européen. Au niveau européen, la Commission européenne a ouvert en décembre 2023 une «enquête formelle» visant X. Le réseau a été mis en cause formellement en juillet 2024 pour plusieurs infractions présumées. Pour chacune d'elles, et faute de mise en conformité, la Commission pourrait infliger à Elon Musk une amende allant jusqu'à 6% du chiffre d'affaires mondial annuel de l'ensemble des entreprises qu'il contrôle, soit plusieurs milliards d'euros. Elon Musk et X Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Une enquête ouverte en France contre X
Une enquête ouverte en France contre X

La Presse

time11-07-2025

  • La Presse

Une enquête ouverte en France contre X

(Paris) La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert le 9 juillet une enquête visant le réseau social X et ses dirigeants, suspectés d'avoir biaisé l'algorithme de la plateforme à des fins d'ingérence étrangère, a annoncé vendredi la procureure de Paris. Agence France-Presse Une enquête a été confiée à la gendarmerie nationale contre le réseau X, en tant que personne morale, et contre les « personnes physiques » qui la dirigent, indique Laure Beccuau dans un communiqué, sans citer le nom de son propriétaire, Elon Musk, multimilliardaire également patron de Tesla. Cela intervient après deux signalements reçus le 12 janvier, qui « faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X à des fins d'ingérence étrangère », détaille le ministère public. Le premier provenait du député macroniste des Côtes-d'Armor spécialiste de ces questions, Eric Bothorel. Il alertait le parquet sur « les récents changements d'algorithme de X, ainsi que les ingérences apparentes dans sa gestion depuis son acquisition par Elon Musk » en 2022. Il soulignait une « réduction de la diversité des voix et des options », une plateforme qui s'éloigne d'un objectif de « garantir un environnement sûr et respectueux à tous », un « manque de clarté quant aux critères qui ont conduit aux changements d'algorithmes et aux décisions de modération », ainsi que des « interventions personnelles d'Elon Musk dans la gestion de sa plateforme », soit « un véritable danger et une menace pour nos démocraties ». Selon les informations du Canard enchaîné en février, le second signalement provenait d'un directeur de cybersécurité dans la fonction publique qui avait de son côté signalé « une modification majeure dans l'algorithme utilisé par la plateforme X qui propose aujourd'hui énormément de contenus politiques haineux, racistes, anti-LGBT, homophobes et qui visent donc à biaiser le débat démocratique en France ». Le parquet, qui avait confirmé début février étudier ces signalements, a indiqué vendredi dans son communiqué avoir ouvert cette procédure « sur le fondement de vérifications, de contributions de chercheurs français et d'éléments apportés par différentes institutions publiques ». L'enquête a été confiée à la Direction générale de la gendarmerie nationale, et porte « notamment » sur les infractions suivantes : altération du fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée, ainsi qu'extraction frauduleuse de données d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée. Le patron de X France, Laurent Buanec, avait assuré le 22 janvier sur son réseau social que « X a des règles strictes, claires et publiques visant à protéger la plateforme des discours de haine », « lutte contre la désinformation » et que son algorithme « est construit de manière à éviter de vous proposer des contenus de type haineux. »

Ingérence étrangère : une enquête ouverte en France contre X, suspecté d'avoir biaisé son algorithme
Ingérence étrangère : une enquête ouverte en France contre X, suspecté d'avoir biaisé son algorithme

Le Parisien

time11-07-2025

  • Le Parisien

Ingérence étrangère : une enquête ouverte en France contre X, suspecté d'avoir biaisé son algorithme

La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert le 9 juillet une enquête visant le réseau social X et ses dirigeants, suspectés d'avoir biaisé l'algorithme de la plateforme à des fins d' ingérence étrangère , a annoncé vendredi la procureure de Paris. Après deux signalements reçus en janvier, qui « faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère », une enquête a été confiée à la gendarmerie nationale contre le réseau X, en tant que personne morale, et contre les « personnes physiques » qui la dirigent, indique Laure Beccuau dans un communiqué, sans citer le nom de son patron, Elon Musk . >> Plus d'informations à venir

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